Au XVIIème siècle, les jardins étaient vastes et parallèles à la Dordogne. Ils ont été ensuite abandonnés et remplacés par des prairies. Ils sont recréés en 1938 par l'architecte-paysagiste Louis-Ferdinand Duprat et comportent un jardin médiéval et un jardin à la française. Le parc dans sa totalité est labellisé Jardin Remarquable.

À droite de l'entrée en sortant du château.

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Les haies de buis taillé qui encadrent le petit sentier menant au parc, à droite de l'entrée.

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La façade vue depuis le jardin médiéval, à gauche de l'entrée.

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Le jardin médiéval

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Ce jardin est un plaisir des yeux par la diversité de ses fleurs (nous étions en juillet).

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Dans la tour, la bibliothèque, récemment restaurée, dont le plafond est orné de fines peintures.

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De la fenêtre, vue sur la cour d'Honneur

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Un prie-Dieu dans le couloir, fleur de lysé, bien sûr, puisque l'on est dans un château royal.

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Retour à l'escalier pour revenir au rez-de-chaussée.

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Un couloir dont le plafond va en descendant et qui donne dans une partie privée des habitants actuels du château.

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Retour dans la cour d'Honneur.

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La tour dans laquelle se trouve la bibliothèque

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Vient ensuite une salle à manger dont la belle cheminée est ornée d'un portrait d'Henri IV. À tout seigneur, tout honneur !

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Sur un petit meuble, cette coupe originale.

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Derrière la fenêtre, une terrasse avec vue sur le parc à la française et sur la Dordogne.

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Installez-vous ! Nous dînerons aux chandelles.

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Le monte-plats

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Le couloir

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Au-dessus de la porte du fond, une peinture.

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La chambre de Jacques-Joseph de Gourgue, évêque de Bazas, qui fût propriétaire du château et le fit restaurer vers 1700.

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Les sculptures qui ornent le pied du lit.

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Un luxe pour l'époque : la chambre est dotée d'un cabinet de toilette.

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La plaque du fond de la cheminée est décorée.

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Un très beau prie-Dieu, ce qui est la moindre des choses pour un évêque ...

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