• Petites feuilles deviendront grandes.

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    Les premiers rayons de soleil, en attendant que les vrais se montrent. Premières touches de lumière.

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    Lequel soutien l'autre ?

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    Me voici au long de la réserve ornitho du Teich, sur le sentier du littoral. Bien que la marée soit basse, la Leyre est aussi haute que lorsque la marée montante du Bassin vient gonfler ses eaux.

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    Le lit sablonneux de la Leyre lui donne une jolie couleur dorée.

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  • La semaine suivante, je décide d'aller voir le long de la réserve ornitho du Teich comment se comporte la Leyre au bord du sentier du littoral, juste avant qu'elle ne se transforme en delta pour se jeter dans le Bassin d'Arcachon. Quelques kilomètres avant, je fais un arrêt au bord de l'Eyga, un des affluents de la Leyre. Beaucoup plus petite que cette dernière, elle s'est cependant bien étalée aussi, mais dans le plus grand calme, comme un lac tranquille.

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    Le sentier qui la longe est, bien sûr, infranchissable.

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    Que de reflets, dans ce qui est habituellement un fouillis végétal de sous-bois sauvage !

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    Les prémices du printemps sont bien visibles.

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  • Oui, je sais, ce n'était pas hier. Non, c'était en février et de la pluie, vous en avez eu assez. Moi aussi. Mais "ma" rivière, la Leyre, je ne l'avais jamais vue comme ça, débordant partout. C'est arrivé d'autres fois qu'elle le fasse, mais jamais autant. Alors je suis allée l'admirer. Oui, l'admirer, parce que les paysages insolites avec des reflets et remous qu'elle offrait étaient beaux. Beaux, j'insiste, car elle n'a pas causé de dégâts en sortant de son lit puisque c'est une rivière qui coule majoritairement dans la nature. Alors, oui, je suis allée l'admirer dans les endroits où je la fréquente, où je la connais. Je vous la présente dans son "étalement débordant". Et pas toujours sous un ciel gris et bas puisqu'il y a eu aussi des jours où le soleil s'est montré, et puis des petites fleurs ici et là, des bourgeons bourgeonnants car le temps était très doux.

    La voici tout d'abord à Biganos, à peu près à mi-chemin entre chez moi et la réserve ornitho du Teich.

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    Étonnant que de voir tous ces arbres les pieds dans l'eau.

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    Pèlerins, pour Compostelle préférez une déviation !

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    Ici, on croirait voir un lac, avec des remous à peine amplifiés par rapport à ceux qu'elle a d'ordinaire.

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    À droite, à peine plus haut sur la partie herbeuse, il y a une base de kayaks. Pas besoin de beaucoup pousser les bateaux pour faire une descente !

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