Toujours dans l'Entre-Deux-Mers avec le même ami, visite de l'abbaye de La Sauve-Majeure que j'avais déjà découvert lorsque j'habitais près de là mais qu'il ne connaissait pas. C'est un monument splendide et impressionnant auquel je ne regrette pas d'avoir fait une seconde visite.

Située entre Garonne et Dordogne, dans l'Entre-Deux-Mers, l’abbaye tire son nom de la grande forêt, ou « Silva Major », qui caractérisait le paysage environnant. Elle sera vite à la tête de prieurés répartis de l’Angleterre à l’Aragon, puis deviendra une halte sur le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Après la Révolution, elle n’est plus qu’une ruine grandiose, exploitée comme carrière de pierre. Classée monument historique dès 1840, elle sert d’école normale d’instituteurs avant d’être acquise par l'État en 1960.
La Sauve-Majeure constitue l’un des plus beaux exemples de l’architecture et de la sculpture romane du Sud-Ouest. Depuis son clocher, elle offre un point de vue unique sur le paysage de l’Entre-Deux-Mers.
Sur un site de 3 hectares, les ruines des bâtiments monastiques et du cloître jouxtent une église abbatiale célèbre pour ses chapiteaux historiés, qui illustrent les textes sacrés et l’imaginaire médiéval (Source site officiel Abbaye de La Sauve-Majeure).

En haut de la route qui mène à l'abbaye, un agréable espace vert et ombragé domine une jolie vue sur le village au milieu des arbres.

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Puis on fait face à l'abbaye dont les vestiges s'élèvent avec encore une grande majesté.

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Plan de l'abbaye.

Nous franchissons les quelques marches du parvis de ce qui fut l'église.

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Pan de mur à gauche du parvis.

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Détails des deux sculptures en haut du pan de mur ci-dessus et détails de celles des côtés de l'ogive du portail de l'entrée.

La travée droite.

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Le plafond de la première partie de la travée droite.

Le mur entre la travée centrale et la travée de droite, et le clocher.

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Détail sur ce mur.

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