Dans la volière voisine se trouve une famille de Tamarins pinchés. Celui-ci reste en suspend avec son bout de langue qui sort de sa bouche. Il me fait penser à ma minette dans la même attitude lorsqu'elle est interrompue dans sa toilette et ça m'amuse toujours beaucoup.

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Lui est dans une observation très attentive de ce qui se passe autour de lui.

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L'espace suivant est réservé aux Capucins sapajous. Réflexion intense pour celui-ci ...

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... séance de manucure pour celui-là.

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Le résultat est-il satisfaisant ?

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Puis ce sont des Ouistitis pygmés.

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Séance d'épouillage pleine de tendresse.

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Après être sortis de la maison des singes, nous longeons un enclos où des Capibaras font la sieste.

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Pas tout le monde, en fait ! Ce jeune ne semble pas avoir envie de dormir.

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Par contre, celui-ci est dans le plus total abandon.

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Les Tapirs terrestres avec lesquels ils cohabitent sont eux aussi dans un somme réparateur. Il faut dire que la température s'y prête.

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Au bout de la première jetée du port ostréicole.

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La dernière cabane de cette jetée. Ne me demandez pas pourquoi, mais je lui ai trouvé beaucoup de charme. Elle ressemble plus à une maison qu'à une cabane d'ostréiculteur.

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Le bout de la jetée.

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Retour vers l'entrée du port avec vue sur les vasières et les prés salés.

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Ce fond de bateau a servi pour faire un pique-nique !

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Retour vers la jetée d'Arès en longeant des maisons. Quelques fleurs cueillies ici et là.

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Nous longeons le cloître.

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Derniers regards sur l'église avant de quitter les lieux.

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Ravie d'avoir revue cette abbaye. Des vestiges, certes, mais forts beaux et qui nous rappellent que les bâtisseurs de cette époque avaient un savoir-faire indéniable, d'autant plus quand on pense aux moyens à leur disposition pour y parvenir. Je ne suis pas certaine que ce que nous construisons de nos jours avec des moyens beaucoup plus importants laissera de si belles traces qui perdureront aussi longtemps. Réflexion tout à fait personnelle et qui ne veut en rien minimiser les mérites des bâtisseurs actuels.