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Par Pascalevdb le 7 Mai 2017 à 00:05
Le canal latéral à la Garonne traverse d'est en ouest une partie de ma région du sud-ouest. Long de 193 km, il est relié en amont au canal du Midi à Toulouse, longe la rive droite de la Garonne qu’il franchit à Agen par le pont-canal d'Agen, puis la rive gauche et débouche dans la Garonne à Castets-en-Dorthe, à 54 km au sud-est de Bordeaux, endroit où le fleuve est navigable.
Sa construction débute en 1838. Les travaux commencent en plusieurs points simultanément et des milliers d'ouvriers vont construire les quelques 193 km de voie fluviale, réalisant des ouvrages remarquables comme le fameux pont-canal d'Agen. En 1844, le tronçon Toulouse - Montech - Montauban (par le canal de Montech) est ouvert. Le canal est ouvert à la navigation en amont de Buzet-sur-Baïse en juin 1853 et achevé en mai 1856.
Le canal comptait à l’origine cinquante-six écluses, auxquelles s’ajoutent les quatre écluses assurant la liaison avec la Garonne à Castets-en-Dorthe. La pente d'eau de Montech est une réalisation originale, mise en service en 1974, qui double cinq écluses. Enfin, sept ponts-canaux permettent au canal de franchir la Garonne et ses affluents. Le plus important, long de plus de 500 mètres et comptant vingt-trois arches, est le pont-canal d'Agen. Les autres ponts-canaux permettent de franchir notamment le Tarn (pont-canal du Cacor) et la Baïse (pont-canal sur la Baïse).C'est à l'écluse n° 50 de Bassanne, qui se trouve à 16 kms de Langon et 68 kms de chez moi, que je me rends pour découvrir le canal, dans la direction du Lot et Garonne, donc vers Toulouse et le canal du Midi.
Depuis le pont qui permet de franchir le canal au niveau de l'écluse n° 50, vers Castets en Dorthe et la Garonne ...
... l'écluse elle-même et direction le Lot et Garonne et le canal du Midi.
L'ancienne cabine qui permettait à l'éclusier d'effectuer les manœuvres pour ouvrir et fermer les portes de l'écluse. Aujourd'hui, tout est automatisé.
Je prends la piste cyclable qui longe le canal.
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Par Pascalevdb le 6 Juillet 2016 à 00:05
Impossible pour moi d'aller plus loin, je suis arrivée dans le creux du Y où la Leyre se sépare en deux. Je suis donc contrainte de faire demi-tour.
Le tronc de cet arbre ...
... doit héberger des colonies d'insectes qui ont creusé des galeries.
Tombera ? Tombera pas ?
Quand je disais que la Leyre prend parfois des airs d'Amazonie, en voici encore la preuve : cet enchevêtrement de végétation a des allures de lianes.
Un fantôme essaie de me faire peur et m'indique d'un bras impérieux la route à suivre pour revenir à ma voiture.
C'est sur cet entrelac de branches que je quitte le sentier et rejoints ma voiture.
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Par Pascalevdb le 4 Juillet 2016 à 00:05
Je me faufile dans les trouées de verdure pour surplomber légèrement la rivière.
Au fur et à mesure de mon avancée ...
... je commence à reconnaître ...
... les abords de l'autre rive parcourue plusieurs fois au départ de la Maison de la Nature de Biganos.
Le sentier se divise en deux pour se refermer à nouveau quelques mètres plus loin.
À ma gauche, vue sur l'autre rive ...
... à ma droite, de petits passages marécageux derrière les branchages.
De temps à autre, la rivière prend des allures d'Amazonie.
Je me rapproche de l'endroit où la rivière va se séparer en deux bras.
Le bras le plus large de la séparation va se diriger vers le Teich pour continuer sa route vers le delta par lequel la Leyre se jette dans le Bassin.
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