• Pour ceux (celles) qui ne voient dans ces publications que le côté temps gris et pluvieux de l'hiver et catastrophe d'une rivière qui sort de son lit, pour ma part, j'y ai surtout remarqué la face méconnue d'une rivière que je connais, apprécie et fréquente assez régulièrement, tout en sachant que cela n'a provoqué aucun dégât puisqu'elle coule dans la nature essentiellement, et le festival de reflets d'un grand miroir d'eau dans des endroits inhabituels, même s'il est vrai que les arbres ont du apprécier plus que moyennement ce bain de pieds forcé. À l'heure ou je publie ces photos, la Leyre est redevenue la jolie rivière que je connais, dans un cadre verdoyant et sauvage, coulant dans son lit de sable fin habituel.

    Près du Relais Nature du Delta de la Leyre, entre Le Teich et Biganos, impossible de passer. Le sentier que j'emprunte parfois pour rejoindre la réserve ornitho en longeant la Leyre fait partie de ce grand lac peu profond mais bien présent.

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    Du pont de la nationale, le lit élargi de la rivière. Mais les remous ne sont pas plus nombreux ni plus intenses que d'habitude.

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