Un juin dernier avait lieu un meeting à la Base Aérienne 120 de Cazaux sur le Bassin d'Arcachon, pour fêter les 80 ans de l'Armée de l'Air. Férue de ce genre de manifestation depuis ma jeunesse, (virus transmis par mon père, militaire dans l'Armée de l'Air à la Base Aérienne 106 de Mérignac et qui nous emmenait à chaque meeting), je m'y suis précipitée. Le temps n'est pas idéalement beau, mais le plaisir de voir évoluer dans le ciel tous ces avions pilotés par des aviateurs hors pair est le plus fort. Retour sur cet évènement.

Un Transall C160, avion de transport militaire.

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Le Caracal, hélicoptère de transport militaire.

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Démonstration de largage d'hommes de troupe.

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Les hommes déposés à terre sont couverts par ceux restés dans l'hélico.

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Petits avions d'entraînement. J'ai fait mon baptême de l'air à bord d'un avion similaire il y a une trentaine d'années. Eh oui ! Bien que fille d'aviateur et ayant eu maintes fois l'occasion de monter dans des avions lorsque j'étais jeune, j'avais toujours refusé car j'avais peur de voler. C'est arrivée à l'âge de trente ans que j'ai saisi une opportunité. Comme quoi !

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Certains concurrents ont embarqué des passagers (famille et amis).

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On vire de bord.

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C'est impressionnant à voir.

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Les quais sont noirs de monde.

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La seule femme de la course.

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Les bateaux sont partis et je décide de me diriger vers le pont levant Chaban-Delmas. Chemin faisant, j'entends, venant vers moi, un air de cornemuse. Qu'elle n'est pas ma surprise de me trouver face à un groupe de joueurs en kilts qui s'avancent dans ma direction ! Sympathique rencontre.

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Le nouveau pont levant Chaban-Delmas, inauguré peu de temps avant. Le tablier est encore levé pour le passage de la transat en solitaire.

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Les concurrents ont beaucoup apprécié l'accueil qui leur a été fait par la ville de Bordeaux et par le public venu nombreux, tant sur les quais qu'à Blaye. J'ai eu la confirmation, très récemment, par la newsletter du site internet de la Ville de Bordeaux, que la transat 2015 sera de nouveau accueillie dans le cadre de la prochaine fête du fleuve et le départ donné à Blaye. J'espère que je pourrai alors me rendre là-bas pour les voir partir.

1er Juin dernier. C'est le grand jour pour les participants de la Solitaire du Figaro. Ils quittent le port de Bordeaux pour se diriger vers Blaye, sur l'estuaire de la Gironde, où leur sera donné le top-départ pour la course en mer. Ils devaient partir par groupe de trois, mais les fortes marées ont rendues la Garonne dangereuse, avec de forts remous et chariant des grosses branches, voire des troncs d'arbres, qui risquent d'abimer les coques des bateaux. Ils se rendent donc vers Blaye à leur grès. Mais ce n'est pas plus mal car cela crée des groupes qui se disséminent selon les voies qu'ils suivent.

Le catamaran d'assistance qui suivra toute la course jusqu'à l'arrivée avec une équipe médicale à son bord.

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Celui du commissaire de course. Ces deux bateaux ouvrent la route vers l'estuaire.

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Les premiers concurrents les suivent.

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Un hélicoptère de la télévision survole l'évènement.

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Clin d'œil à mon jeune collègue "ventre à choux".

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En quittant le ponton d'Honneur où ils étaient amarrés, les bateaux passent devant le pont de Pierre.

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