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Impossible pour moi d'aller plus loin, je suis arrivée dans le creux du Y où la Leyre se sépare en deux. Je suis donc contrainte de faire demi-tour.
Le tronc de cet arbre ...
... doit héberger des colonies d'insectes qui ont creusé des galeries.
Tombera ? Tombera pas ?
Quand je disais que la Leyre prend parfois des airs d'Amazonie, en voici encore la preuve : cet enchevêtrement de végétation a des allures de lianes.
Un fantôme essaie de me faire peur et m'indique d'un bras impérieux la route à suivre pour revenir à ma voiture.
C'est sur cet entrelac de branches que je quitte le sentier et rejoints ma voiture.
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