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À ma droite, protégé par de hautes haies, un champ borde l'autre bras de la Leyre.
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Sur les plaines, à gauche du sentier, des chevaux paissent ...
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... et d'autres font de même dans un pré à droite.
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Les chevaux qui étaient sur les plaines traversent tranquillement le sentier devant moi pour aller rejoindre ceux qui sont dans le pré. C'est là que je comprends l'utilité des barrières en quinconces qui sont en travers du chemin : elles empêchent les chevaux de se promener sur le sentier mais leur permettent d'aller librement des plaines vers les prairies et inversement. Quant aux promeneurs, ils peuvent passer ces barrières sans avoir à les ouvrir et les fermer derrière eux, au risque justement que certains ne les ferment pas et que les chevaux prennent la poudre d'escampette ! Ces derniers ont ainsi une grande liberté d'aller et venues sur une très grande superficie et leurs propriétaires ont l'esprit tranquille. Astucieux !!!
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