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Il s'appelait Never. Vous avez vu qu'il avait le chic pour se mettre à l'endroit où je ne l'attendais pas sur mes photos. C'était un Cavalier King Charles. Je mets tout cela au passé car j'ai dû, hélas, le faire piquer le 5 janvier 2007. Il avait juste 9 ans mais il avait une grave maladie cardiaque congénitale : son coeur était devenu beaucoup trop gros et appuyait sur ses poumons, lui causant une très importante gène respiratoire et cette malformation du coeur entraînait également un dysfonctionnement de plusieurs organes et systèmes vitaux, particulièrement le système urinaire et il n'arrivait plus à uriner malgré les diurétiques. A la fin, il n'avait plus d'appétit et était devenu très faible. On me l'avait offert alors qu'il n'avait que 5 mois. Il était adorable, petit chien tendre et câlin, avec du caractère, un peu têtu aussi. Je l'emmenais partout avec moi et il savait me consoler lorsque j'avais un coup de blues, posant sa tête sur mes genoux avec un regard si doux. Je pense toujours autant à lui, mon petit compagnon des bons et des mauvais moments, même si maintenant une petite minette est arrivée dans ma vie. Le voici en quelques photos. N'est-ce pas qu'il était beau, mon bonhomme ?
Sur fond de montagne. C'était une sortie au cirque de Gavarnie. Il adorait les ballades.
Gros plan sur son adorable petit museau. Ma mère disait qu'il avait la truffe en trompette.
Une allure royale !
Au pas cadencé.
Perdu dans la jungle des hautes herbes ...
... il "broute" !
Que d'odeurs à renifler !
Très gourmand, il adorait les croûtons de pain frais ...
... et les os à moelle ...
... mais il était aussi partageur !
Instant de repos complice avec Caresse, la minette de mon petit-fils Nathaniel.
Il connaissait les bons coins : la douce chaleur d'un radiateur électrique ...
... et le confort du canapé ...
... mais ne négligeait pas pour autant le moelleux de son panier !
C'est la dernière photo que j'ai prise de lui. Il repose maintenant dans le jardin d'un ami. Dors en paix, mon bonhomme, mon petit museau. Tu me manques mais tu souffrais trop et les vétérinaires ne pouvaient plus rien pour toi.
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